A deux copains.
Il y a des jours comme ça… où on prend le temps de se dire qu’on ne pense jamais à ceux qui nous sont proches.
Fragilité du temps, des corps ; réalité des douleurs et des angoisses.
A Bernard, à Olivier ; l’un qui y séjourne depuis trop longtemps, l’autre qui y fera, on en est sûr, un court passage… dans ses murs blancs comme pour y conjurer de noires pensées.
Sourire, en me disant qu’une fois de plus… il s’agit de deux personnages où la demi-mesure n’est pas possible… on n’aime ou on n’aime pas. Deux caractères et pourtant, je crois une même sensibilité.
Amitiés à vous deux.